L'alcool pardonne tout même les pires comportements...[Seth]

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Une longue journée encore se terminait. Une de plus et pourtant celle là, elle n’était pas fâchée de la voir se terminer. Déjà, Tasha n’avait eu droit comme interlocuteurs étrangers à des femmes toute la journée. Ce n’était pas drôle du tout ! Si on ne peut même pas un peu s’amuser dans une longue journée de travail, franchement ça devient de l’esclavagisme. Bon d’accord, elle exagère un peu là, mais bon il y en a qui aime leurs pauses cafés ou le petit verre du midi ou prendre une heure dans la journée. La blonde ne demandait pas tout ça, juste d’avoir un interlocuteur un peu plus amusant. Car évidemment, on ne peut pas sortir les mêmes cartes, déjà en fonction de l’âge de la personne en face de vous et du pays de provenance également. On ne parle pas de la même manière à bulgare qu’on parle à un Italien. Ça serait mal venu et c’est une chose qu’on apprend très vite croyez-le. Bon elle n’avait peut-être pas à se plaindre car elle avait quand même finit par avoir tous ses documents, certes après à chaque fois des batailles verbales qu’elle peut inscrire comme les plus exceptionnelles qu’elle aille déjà fait depuis ce début de carrière. Elle avait de la chance d’avoir trouvé les bons arguments en somme. Enfin, elle ne fut pas fâchée de voir enfin l’heure d’arrêtez arriver. Elle rendu les papiers demandés et les rapports quelques minutes plus tard, question de relire ce qu’elle avait marqué tout de même, ça serait fâcheux d’avoir mis autre chose que le mot désiré.

Elle reprit donc sa veste dans les tons bruns foncés, ce qui tranchait d’ailleurs avec sa chevelure blonde détachée. Elle quitta le ministère mais n’ayant pas l’envie de rentrer chez elle, mais plutôt de faire quelque chose de plus détendant comme aller boire un petit quelque chose. Faire ce qu’elle n’avait point pu faire de la journée, rigolez un peu, intérieurement si c’est au bureau bien sur, il ne faudrait pas que les gens croient que vous vous moquez d’eux même si c’est le cas, question de principe. A moins que se soit flagrant. Ses pas l’emmenèrent après un petit transplanage vers le chemin de traverse. Pourquoi là bas, aucune idée c’est un des lieux centrales avec le ministère et l’hôpital que toute personne qui arrive dans le pays se doit de connaître. Elle n’arrivait pas là maintenant mais sa mémoire gardait beaucoup plus en tête c’est lieux là. L’employée du ministère continua de marcher avant de regarder l’endroit, elle vu le chaudron baveur, ni une , ni deux, elle bifurqua de sa trajectoire et poussa la porte pour y enter. Quittant le vent qui balayait sans ménagement tout ce qui était sur son passage surtout qu’il était encore plus froid vu l’heure qui commençait à décliner vers la soirée. Une fois à l’intérieur une agréable tiédeur pu se faire sentir.

La vélane s’avança finalement, il y avait déjà quelques personnes attablées dans l’endroit, pour avouer toute les places étaient libres. Un soupire mécontent passa ses lèvres alors que du regard elle cherchait un endroit ou qu’il n’y aurait qu’un personne assise. Peut lui importait de s’asseoir à côté du parfaite inconnu. Mais non, ils étaient souvent à deux ou plus. Bien, son regard se tourna vers le bar, là il y avait quelques places libres. Bon, elle déserre finalement sa longue veste brune foncée en détachant le nœud qui tenait les deux pans de sa veste en place. Elle s’avança vers une chaise et s’assit avant de commander au barman un des alcools possibles , le tout avec un sourire charmant. Il finit par partir pour la servir et elle en profita pour regard ses voisins. D’un côté elle avait une lace libre puis visiblement deux personnes en grande conversation sur le résultat de leurs équipes de Quidditch favorite. De l’autre côté, il y avait un homme, au cheveux brun qui de tout évidence était seul ou ne prêtait guerre d’intérêt à ses alentours directes. Un fin sourire franchit ses lèvres et elle tourna la tête dans sa direction s’orientant un peu mieux sur le tabouret que face au barman.

-Bonsoir, puis-je me permette de m’asseoir à vos côtés ?

Tasha esquisse un léger sourire de circonstance mais opte pour un regard plus rieur que renfrognée. Elle du se détourner quelques secondes car son verre arriva devant elle. Elle en profita pour boire une petite gorgée avant de tourner son regard vers le brun. Et hop, la soirée est lancée, qui vivra verra.

Invité

Putain …J’en ai marre, je suis maudis aussi maudis que moi personne ne peut l’être. Gueule de bois, paupière lourde, fatigué à souhait, à du mal à s’exprimer. Je devenais un vrai légume, un homme saoul pour ne pas dire un sorcier loup garou saoul. Enfin soit le résultat physique est le même c’est juste les dégâts psychologique qui son légèrement différent. Les hommes classiques se plaignent de leur boulot et leurs femmes, les sorciers se plaignent sur leur boulot de leur baguette et de leurs femmes. Nous les loups garou, hein, on se plein de notre boulot, si on n’en a un car avec tout ces mangemorts et c‘est sang pure qui sont raciste, les gens comme moi ne trouve pas tout jour un travaille quand les 3 années après c’être fais virée appart sa on se plein aussi de nos nuit avant et après pleine lune enfin se sont des chose qui sort un peut hors du commun c’est comme sa que on se fais pas engueuler par les gens sombre car on parle de trop, car nous quand nous parlons c’est pour raconter quelque chose qui sort de l’ordinaire, qui amuse parfois les gens car ils nous prennent pour fou.. Enfin soit toutes ces subtiles différences ne s’observe pas à l’œil nu mais quand un homme ou un hybride ou je ne sais quoi qui pourrait exister sur cette terre se met à se noyer car bon on ne déguste plus, on ne bois plus, on se noie dans la boisson alcooliser qui port des noms différents pour chaque gout mais l’effet reste le même. Tête qui tourne, impression d’être physiquement présent mais dans la tête sa part dans tout les sens, et vous parlez de tout et n’importe quoi en croyant que tout est logique et normal. Enfin soit plus personne ne s’en fait. Surtout vus l’endroit où je erre en se moment. Je erre, est un mot peut correcte. Je dirais que je suis fixé sur une chaise comme une vise dans un mur où l’on a accroché un cadre.
Les verres s’accumulent de plus en plus sur le bar où je me suis installé. Il m’arrive de temps à autre de penser que ma chaise disparait ou que le sol s’effondre et que je tombe dans le vide mais bon j’essaye de contrôle mes muscles pour ne pas m’accrocher au bar comme un homme délirant.

Je tentais de regarder le barman dans les yeux et recommandait à nouveau un Xérès, une célèbre boisson servie au Chaudron baveur. Bien connu par tous les dépressifs du coin. C’est un peu comme les Malibu ou la Kreik moldus. Je ne sais pas si vous en avez déjà but mais au début sa descend comme du jus de citrouille et après vous sentez qu’il est trop tard pour arrêter et que vous êtes déjà dedans et pour un long moment. Alors bon autant continuer puisque l’on a déjà dépassé ces limites. Soudain je vis un truc arriver un peu trop près de moi. Une femme. Au du moins cela y ressemblais fortement je ne lui dit rien et but cul sec la moitié de mon verre car qui sais se qui est allusinassions ou vérité vu ma déchéance j’avais du mal à me décider sa résonnait dans ma tête quand je pensais. Quelques secondes après être venue près de moi ce mirage se mit à me parlé.
Je tournais la tête derrière moi pour voir s’il n’y avait pas quelqu’un d’autre puis la regarda à nouveau. Je ne fixais pas une partie précise de son corps c’était plutôt un ensemble. Et dans le doute autant chercher la voix de la vérité par des moyens scientifiques. C’est donc à se moment que je tentais une expérience. J’avançais mon bras vers son épaule et tapota dessus pour voir si elle était un mirage ou si elle était réel. Apres deux trois petit coup sur son épaule si fine et je pus conclure que c’était un corps de femme parfaitement consistant et non le fruit de mon imagination.

J’avançais donc mon buste vers elle et lui répondu avec un aire peut convaincant.

-Bien sur pour quoi vous ne pourriez pas vous assoir sur ce bateau. Faite gaffe sa titube un peux

Je tente de me remettre droit et attrape mon verre après deux tentatives désespérées et le vide…

- Alors sa vous plais ici ?… Vous attendez votre petit ami ?

Invité

L’arrivée dans cet endroit, c’était faite sans trop se faire remarquer. Tant mieux ! Ca vous laisse le temps de choisir tranquillement votre place sans que des choses complètements loufoques se produisent ou se fassent entendre. Elle s’était donc assise et quand elle pausa une question à son vis-à-vis, elle prit le temps d’observer qui était l’homme à ses côtés au bar. Premièrement, il avait l’air un peu dans le vague comme s’il luttait mentalement contre quelque chose. Secondement, il avait déjà une quantité honorable de boisson ou plutôt de verre vide devant lui. N’importe qui avec ça dans le coco aurait déjà un peu l’esprit de travers, enfin tout dépendait en combien de temps il avait but ceci et de votre organisme également. En tout cas, il n’était pas dans un état de fraîcheur et d’énergie resplendissante tous au contraire. Etait-ce un alcoolique ? Ca serait bien sa veine tient, décidément elle a le don pour tomber parfois bien bas ! Enfin, il y a tout un tas de raison qui vous ferait tomber dans une déchéance qui n’a rien avoir avec une dépendance au réconfort de la bouteille et plus précisément au Xérès, si son nez lui est toujours fidèle sur ce point. Elle se félicita mentalement de ne pas avoir prit ce choix sur la carte. Bon certes avec quelqu’un déjà à moitié dans les vapes peut importes, toute est presque gagné d’avance, c’est vachement moins drôle. Soit, elle se contentera des biens faits de l’alcool donc ! L’homme avait tourné sa tête en direction de la vélane, comme surpris ou pas certain de ce qui se passait, Tasha ignorait si il avait d’ailleurs percuté qu’elle lui avait adressée la parole. Il n’avait toujours pas bougé de son inactivité et de son mutisme pour le moment, alors que elle avait retourné sa tête après avoir bu une petite gorgée de son verre ayant été déposé en douceur sur le comptoir. Il semblait loin, très loin, elle se retient à l’idée de répéter ses paroles ou de claquer des doigts devant ses yeux, faire du bruit, il faut qu’il réagisse bon sang !

Alors qu’elle retenait de contenir cette envie de le frapper, oui ça semble illogique mais se faire complètement ignorer est quelque chose qu’elle n’apprécie pas non plus, qu’on n’aille au moins la décence de répondre et comme c’était l’impression qu’il lui donnait en ne donnant d’autre signe de vie qu’une respiration lente, cela l’énervait. Finalement, il fit enfin un geste, il était temps ! Elle le vit lever la main vers elle. Pendant quelques secondes de l’étonnement pu passer dans ses yeux alors qu’elle se demandait silencieusement ce qu’il faisait et surtout ce qu’il lui prenait. Le voyant approcher sa main, l’idée de prendre sa baguette se faisait de plus en plus tentante au fur et à mesure que la distance s’amenuisait. Allait-il par merlin desserrer ses lèvres et parler ! Sur un air plutôt méfiant, elle put percevoir son contact avec son épaule dans un geste comme si on vous tapotait pour vous dire c’est bien, pour lui elle doutait que se soit cette solution là. Par la suite, il paru se reprendre et enfin le son de sa voix parvenu aux oreilles de la Vélane qui refit une tête totalement neutre en une fraction de seconde. Un bateau, mais bon sang qu’elle bateau ? C’est lui qui doit tituber ! Mon dieu, la sentence était sans appel, cet homme était de doute évidence sous influence d’alcool, aujourd’hui n’était pas du toute sa journée ! Pourtant elle se recomposa un visage plus charmant et d’une voix légère et un brin chantante elle reprend tout en rentrant dans son délire. Quoi on ne contrarie pas les gens qui ne sont pas dans leurs états normale…A moins que se soit son état normale ? Mieux vaut ne pas y penser.

-N’ayez craindre, je sais nager…Mais vous par contre vous donnez l’impression que cela fait longtemps que vous êtes amarré ici, est ce le cas ?

Son verre arriva dans ses mains alors qu’il reprend la parole, un sourire un rien ironique passa sur les lèvres de l’employée du ministère au mot petit ami ! Non, voyons ! Par contre totalement à l’ouest, il ne l’était peut-être pas encore. C’était déjà çà de gagné.

-Aucune idée, je viens d’arriver mais y a t-il un meilleur endroit pour se détendre après une longue journée ? La votre n’a pas l’air d’avoir été…Pour ce qui est d’une quelconque attente de ma part, non, je n’attends personne, être seul ne me dérange pas, on n’est ainsi libre de faire ce que l’on veut quand on veut, sans être retenu par quelque chose ou quelqu’un et vous êtes-vous seul ?…Monsieur ?

Il était toujours intéressant de connaître son nom déjà, question de savoir si se nom lui disait vaguement quelque chose ou non. Ou alors elle connaîtrait quelqu’un de la famille, c’était une possibilité comme une autre. Ma fois elle le saura tôt au tard, si il parvient à retrouver son nom déjà, c’est une chose qui reste encore à voir bien que il a quand même l’air de se reprendre, peut-être fallait-il attendre que le déclique se fasse. Après tout on n’est le soir ! Un nouveau sourire, elle continue de boire le liquide ambré que contient son verre par petite gorgée question de bien profiter du goût.

Invité

C’était une drôle de personne qui se trouvais a mes coter. Cela la fessait fortement sourire. Non mais vous croyez sa. Elle pense que l’on est amarré et qu’elle a de l’eau sous les pieds.
Moi je dis, on peut dire se que l’on veut de moi mais cette femme ne me bâtera pas. Elle vient à peine d’entrer et la voila occuper à raconter des choses étranges comme quoi elle sait nager et je ne sais quoi encore. Non mais elle a but quoi avant de venir, on n’est pas à la piscine elle a surement du se tromper d’endroit. Enfin soit ne fessons pas trop attention à ces divagation. Mais bon Comme je dis toujours. Ou plutôt je crois le dire mais je ne le dis pas souvent. .. Réponds toujours aux femmes bizarre car n’est bizarre que la bizarrerie… Vous me suivez ??
Oo oo j’ai la tête et les yeux qui me disent merde. C’est vraiment pas mon jour ni ma nuit. Dans des cas comme le mien vaut mieux rester enchainer dans son lit et ne pas y en sortir. C’est dingue comment un liquide comme celui la peut vous mettre H.S.
Oui je pensais donc…

Je regarde la femme soulève un sourcil et médite a se qu’elle avait dis et se que j’étais censé lui répondre…
Je recule légèrement ma tête un peu plus loin … je ne sais pas pourquoi je reculais cette tête mais bon peut être que cela aidais a réfléchir … ou alors peut être la voir d’un peu plus loin. Bon il faut quand même que je lui dise quelque chose… aa oui elle parlait de marée, non d’amarrée … a oui elle pensait que j’étais un bateau amarrée, je ne souviens.

-Oui il y a déjà quelque temps il est vrai, mais j’ai déjà connu des bateaux, des vieux bateaux qui restaient amarrée plus longtemps que moi. Sauf que eu il ennuyait leur monde avec leurs divagations… vous voyez de quel bateau je veux parler.

La petite blondinette un peut taper de la citrouille marquait un point. Il est vrai que ce bar était un peu fort plus ou moins peuplé. Et il est vrai que des gens aussi distinguer que moi s’y troue par dizaine. Bon encore une foi je le répète je ne suis pas toujours comme sa il m’arrive dés fois d’être pire ou souvent d’être mieux. Longue journée longue journée tout dépend ou l’on travail moi aussi j’aimerais bien faire parti de ces gas du ministère qui se tourne les pouce pendant les heures entière et une foi qu’il y a un problème il panique. Mais bon tout le monde ne peut pas se permettre d’être aussi peut occuper. Mwai moi aussi j’ai toujours voulu être libre comme les hippogriffes mais que dalle nada je suis enfermer dans mon quotidien et les problèmes de toutes les lunes… toutes les lunes.

- Il n’y a que moi et ma propre conscience. Dison que les gens évitent les gens plus ou moins comme moi. Sauf que moi je ne suis pas vraiment comme ca tout le temps. Mais non je suis seul… et éviter de m’appeler monsieur s’il vous plaît bien car je ne suis pas si vieux que sa. Je n’ai pas encore l’âge d’être votre père.

Je secouais la tête un peut histoire d’essayer de remettre mes idée mais cela ne fis que aggravé les choses. Ma tête tournai encore plus et mon mal de tête était réapparu de plus belle et de plus en plus fort… pour ensuite reprendre et m’approcher d’elle en lui prenant la main.

- Je m’appel Seth madame mademoiselle ou je ne sais quoi d’autre que vous pouvez être ou devenir ou ne pas être…. Enchanté.

Invité

A présent, elle ne pouvait plus douter qu’il l’avait aperçu ou du moins entendu, c’était déjà un bon point. Normalement ça devrait aller mieux quoique s’il se croit toujours face à un mirage, elle allait finir par perdre le reste de sa patiente quotidienne. La journée d’aujourd’hui avait déjà été assez pénible comme ça, inutile de rajouter une soirée lassante ou on vous prend pour un mirage ! Elle était loin d’être une simple illusion et si il fallait le lui prouver, elle ne se ferait pas prier. Ma fois, elle tempéra ces accès de nervosités inutiles en buvant à nouveau une petite gorgée de son verre, après tout c’était aussi pour boire quelque chose qu’elle était venue dans cette endroit. Il recule sa tête d’un air un peu surpris…Non ne lui dite pas que c’est lui qui la croit déjà atteinte par l’ivresse ? Ce n’était absolument pas le cas ! Au contraire l’employée du ministère était en pleine possession de ses moyens, elle voulait juste faire cela pour rentrer dans son délire. Remarquez si l’homme s’en rendait encore compte, c’était que sa propre tournure étrange était voulue et contrôlée, ce qui laisserait croire qu’il était encore capable de certaine chose malgré le taux d’alcoolémie dans son sang. Hum, parfais, au moins il y aurait un très léger chalenge. Ma fois ça reste encore trop facile pour en être amusant, mais les autres personnes des alentours étaient toujours par groupes et en pleines conversations. Tant pis, on fait ce qu’on peut...La vélane en restait peut-être trop confiante mais l’alcool n’est pas un ami pour lui, déjà vos réflexes et réflexions sont plus lentes donc de toute façon c’était tout bénéfices pour la jeune femme. Bon soit, cessons d’extrapoler, elle secoua un peu sa tête de gauche à droite comme pour chasser ses pensées et se concentrer sur les paroles qui arrivent à ses oreilles. A l’écouter, la blonde se remit à hésiter une fraction de seconde sur son état mentale, mais finalement non il était toujours conscient. Un sourire joueur s’afficha sur ses lèvres à l’évocation du dernier bateau. Oh oui, elle savait très bien ce qu’il voulait évoquer par-là.

-Je vois très bien de quel bateau vous voulez parler…Néanmoins, on ne peut pas toujours forcer les gens à prendre le bon choix. Ne devenez pas comme eux, ça n’apporte rien..

Quoique, passons avant que son esprit ne s’emballe encore. On peut toujours trouver les arguments pour forcer quelqu’un à choisir ce que vous vous voulez mais toute la question est de trouver lequel est le meilleur et le plus persuasif. Quelque temps, c’était d’une précision extrême, il fallait bien se l’avouer. M’enfin on fera avec, elle garda son regard vers lui, quand il reprend. Les gens comme lui, elle arqua un sourcil pendant une fraction de seconde mais reprit un air jovial en moins d’une seconde. M’enfin qu’est ce qu’il voulait dire par-là ? Les alcoolo ? Non sans doute pas et elle avait beau regarder, il ressemblait on ne peut plus à quelqu’un de normale. Arf, la curiosité de la blonde était finalement piquée à vif, et elle aurait la réponse coûte que coûte croyez le bien ! La suite la fit sourire, son père non certainement pas, il n’a sans doute pas toute sa magnifique patience et son calme à tout épreuve, quoique elle ne le connaissait pas après tout. Enfin la question sur une soit disant classe à par entière de l’homme lui tournait toujours dans la mémoire, question d’en être quitte et de savoir tout de suite, elle enchaîne en prenant une voix plus onctueuse et un sourire charmeur sur la fin.

-Les gens vous évitent ? Pour quelle raison ils feraient ça ? Cela arrive à tout le monde de vouloir boire un verre ou vouloir oublier quelque chose, la preuve…

Elle lève son verre dans un petit mouvement comme pour approuver ces dires, pas faux non plus car après tout il fallait bien oublier cette lassante journée ! Elle repose son verre, elle espère avoir la réponse à son interrogation, il n’y avait plus cas attendre et même si son vis-à-vis ne répondait pas, elle persévèrera de manière plus forte dirons-nous. Tasha aurait bien rajouté le nom de cet inconnu à la fin, ça vous fait toujours sentir un peu plus concerné ou obligé mais ne le connaissant pas encore ce ne fut pas dans ses possibilités. Elle remit une mèche rebelle derrière son oreille avant de sentir une main prendre la sienne. Avec une rapidité éclaire, elle tourna la tête dans cette direction pour voir que c’était l’homme à ses côtés…Arf minute, elle veut sa réponse d’abord cependant elle ne la retira pas. Seth…Non ce nom lui disait rien du tout.

-Enchanté Seth…Je m’appelle Tasha..

Inutilité des noms de famille prouvée une fois de plus. Reportant son regard bleuté sur sa main emprisonnée, elle relève le regard vers lui avec un léger sourire en coin et reprend pour que la conversation ne cesse pas et surtout crée un petite discussion, un lien, enfin peut importe, il faut bien commencer quelque part plutôt que d’y allez frontalement. Quoique avec certaines personnes le frontale est la meilleur technique.

-Alors quelle mystérieuse raison vous a poussé en ce lieu ?

Le tout sur un ton intéressez et un regard attentif au détail. Il ne manquerait plus qu’une petite moue et ça aurait été parfais.

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Je l’écoutais parler avec une envie affolent de piquer un peu du nez par moment. Enfin soit j’essayais de l’écouter du mieux qu’il m’était donner d’écouter.

-Et c’est vous qui me dit cela… De toute façon tout le monde s’en fou que je sois un bateau échouer ou un cargo de passage….

Je la regardais un peu étrangement et lui dis

-Appart vous, je ne sais pas pour quoi… d’ailleurs c’est étrange car d’habitude les jolies blondinettes dans votre genre ne viennent pas ici.

C’est qu’elle semblait heureuse la petite, elle me fessait penser à Mona Lisa mais en blonde je ne sais pas si vous voyez de quoi je parle. Elle est plutôt di genre je bouge plus et je souris toujours…Sa se trouve pas partout se genre de personne et sa me ferais presque peur.

-Ben oui, si je le savais, disons que je pense que je crois que les gens dans mon genre sont peux fréquentable, je ne comprends pas pourquoi il y a autant de raciste dans ce monde. Les moldus sont bien plus tolérant…. Que les ignorants soient bénis …. Personnellement si j’étais vous, une femme… Ben je ne resterais pas la sa fait mauvais genre dans se monde… ou même dans l’autre.

Tasha… Tasha qui, ou Tasha quoi. MMM que c’est presque étrange c’est un non qui sort du commun je me demande d’où sa peu venir c’est surement pas européen ni américain… mais bon lui demande sa serai pas très poli déjà que j’ai du mal a la regarder droit dans les yeux sans que ceux-ci me disent merde. Enfin soit je ne vais pas l’ennuyer avec ca après elle va croire qu’on ne peut plus s’appeler comme on veut sans se faire attaquer pour savoir qu’elles sont nos origine.
Je ne lui lâchai pas la main et la secoua un peu de haut en bas tout en lui parlant en bougent un peu la tête avec.

-Enchanté fortement Tasha. Vous venez d’où enfin de quel pays je veux dire. Votre nom viens d’où car en faite je n’ai pas souvent entendu se nom par ici. C’est pour sa enfin si vous voyez se que je veux dire. Car bon les gens ne savent pas toujours pour quoi on dit sa alors il se braque et part mais enfin soit vous voyez se que je veux dire.

Je tenais toujours sa main entre mes deux mains. Jusqu'à sa nouvelle question ou je relève ma main avec un doigt pointé vers le ciel et l’autre je tape sur ma cuisse pour dire se que je fessais ici.
Ce mouvement très précis prouvait que j’avais toujours d’aussi bon réflexe. Sa fessais plaisir à savoir quand même. Même un peu atteins pas l’alcool j’arrivais à coordonnée mes mouvements et à être très précis.

-Hé bien madame c’est une fort longue histoire. Mais je vais vous la faire court car maintenant les jeune comme vous sont plutôt du genre rapide, jamais le temps pour des histoires. Bon en abrégée sa donne que j’ai passé une mauvaise nuit et une très mauvais journée. Moi madame mon rêve c’est d’être professeur oui comme je le dis mais j’ai jamais été pris, soit disais se son mes origine qui les dérange. Alors j’ai voulu aller dans la bibliothèque mais la non plus il mon traiter encore pire qu’un chien et j’ai donc trouvé un magasin qui vent des ballais. Mais bon les jeunes petite prétentieux me pourrisse toute mes journées a se venter de leur argent, de leur sang pure etc. Mais moi je dis … je dis que plus personne ici dans se bas monde à le sang pure c’est impossible avec le temps qui avance a une vitesse V V’ ce n’est plus conservable. Le 16em siècle c’est fini…. Vous voyez se que je veux dire…

Invité

Le regard de la blonde oscillait entre l’homme en face d’elle et son verre qui lentement mais sûrement commençait à descendre. Chose inévitable, mais la question peut revenir. A moitié vide ou à moitié remplis ? Vu l’optimisme et l’assurance de la vélane, celle ci opterait pour la seconde solution. Alors qu’elle la jouait au joli cœur et tentait de le mettre en confiance, pour cela quoi de mieux que de parler ou de compatir à des problèmes, il reprend la parole pour lui répondre. Ah non voilà que les embarcations nautiques reviennent dans la conversation. Cet homme avait le chic pour mettre à mal les convictions qu’elle tentait de mettre au point dans son esprit. A chaque fois qu’elle choisit pour l’option conscient de ses actes ou trop entamé par sa consommation d’alcool, il fallait qu’une phrase vienne tout remettre en doute. Ce qui avait le don, de la titiller ou plutôt de la faire s’énerver de ne pas savoir, de ne pas être sur et donc avoir la possibilité que la situation lui échappe même si elle en doute très fort. Jolie blondinette ? Un regard un peu offusqué prit place sur son visage. Oh minute, les apparences sont trompeuses ne lui avait-on jamais dit, sinon l’apprentissage de cet adage risque d’être douloureux.

-Et selon vous quel genre de blondinette suis-je ? N’ais-je pas le droit de venir boire un verre ou bon me semble ?

Tasha cependant étira ses lèvres dans un léger sourire question d’adoucir un peu ses phrases et surtout qu’il ne le prenne pas mal. Mieux vaut ne pas faire avorter des plans futurs tout simplement car la demoiselle à un caractère un peu sensible. Néanmoins dit comme ça, soit elle donnait juste l’exemple de la parfaite idiote qui est la juste pour se pavaner, soit pour donner une image de gamine capricieuse. La il n’aurait peut-être pas tord mais ça serait fou de ne la prendre que pour ça. Elle retient son sourire malicieux de justesse. Quand la voix de Seth résonna pour répondre à sa question de des gens comme lui. Son attention se vira immédiatement avec lui. Cette information déclenchait énormément sa curiosité et pouvait laisser son esprit divaguer aussi, alors oui elle voulait savoir et croyez là bien, elle le serait coûte que coûte. Cependant elle dut aller rechercher au fond d’elle-même ce brin de patiente qui pouvait lui rester à l’entende de cette phrase entremêler et surtout qui n’aide pas à comprendre ce qu’il était. A moins que se soit une élucubration de son cerveau sous l’effet de trop d’éthanol dans le sang. Elle espérait néanmoins que ce ne sot pas le cas.

-Vous croyez ? Mais quand savez vous ? Et puis par les gens dans votre genre j’avoue que votre précision extrême sur ce faite ne m’aide pas à comprendre quelle est votre condition apparemment controversée...Quelle est-elle si je puis me permettre d’insister ? Concernant votre inquiétude à mon propos sachez que les avis des autres ne m’intéresse point.

Remarquer même si elle ne pouvait pas se permettre d’insister elle le ferait quand même ! Ce n’était pas si peu qui allait la gêner bien au contraire il en faut un peu plus. Alors que son imagination met e n place toute une série de possibilité pour atteindre son objectif fixé récemment, le mouvement de sa main, la fit revenir à la réalité et ranger dans sa tête cela pour un peu plus tard. Elle esquisse un sourire et se tourne cette fois si complètement dans sa direction, se permettant la liberté d’installer son coude contre le comptoir faisant attention de ne pas renverser son verre.

-Je vois ne vous en faite pas. Mon nom n’est sans doute pas usuel ici car je suis originaire de Bulgarie. Par la c’est déjà un nom plus courrant. Et vous vous êtes britannique ou d’une autre origine ?

Remarque quand on dit Bulgarie les trois quarts des gens pensent au Quidditch ce n’est pas faut mais ce n’était pas que ça bon sang, il y avait tout le pan culturel que tout le monde oubliait et c’est ça qu’elle, elle aimait. Elle profite de son mouvement pour doucement libérer sa main de son emprise. Héhé échangée bon procéder, elle veut toujours son information elle. Jeune ? Certes d’accord, mais il n’avait pas non la quarantaine donc bon, évitez de la rabaisser au stade d’adolescente l’arrangerait énormément. C’est qu’il va finir par pousser la patience de notre vélane à ses limites déjà fort proche. Ah un point commun, la mauvaise journée. Euh par contre une leur d’étonnement put passer dans son regard azur, tout cela ne répondait pas le moins du monde à sa question à moins que l’ensemble de ces facteurs désolant l’ais conduit jusqu'à écumer les bars.

-Les longues histoires m’intéressent si elles sont un temps soit peut intéressantes. Concernant le 16ème siècle pas vraiment ? Vous faites référence à un passage historique ? Pour les sangs purs je crains que les conversations sur ce point n’ont pas à être, quand à vos origines, nous ne pouvons pas y changer grand chose vu que nous n’avons même pas décider d’arriver au monde. Ma fois vendre des balais doit quand même être amusant si vous pouvez les essayer ? Et puis le principale c’est de faire le métier qu’on n’aime.

Quoi elle ne comprenait pas ce qui avait de génial à quitter le sol, mais elle adorait regarder les matchs, sans doute du à ses origines.

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